Be Happy
FIV en Turquie
Restera plus qu’à trouver le prénom !

FIV : pourquoi la Turquie
Affichant des chances de succès plus importantes et des prix en moyenne 50% moins cher qu’en Europe, sans attente, l’intérêt est évident.
Les miracles de l’amour sont parfois insuffisants pour concevoir un enfant. Un petit coup de pouce de la science peut être le bienvenu. Depuis 1978 et Louise Brown, premier “bébé éprouvette”, plus de 5 millions de bébés FIV sont nés dans le monde. Pour les couples diagnostiqués infertiles, recourir à la procréation médicale assistée (PMA) devient alors un choix évident, permettant d’augmenter les chances de succès de devenir parents. Pour de nombreux couples souhaitant recourir à une FIV (fécondation in vitro), l’option du tourisme médical s’impose souvent, comme la promesse d’une nouvelle lune de miel pour un premier bébé.
Dans le domaine de la biomédecine de reproduction humaine, la Turquie jouit d’une réputation internationale, par la compétence de ses chercheurs, à la pointe des progrès réalisés dans le domaine, et par la qualité de ses spécialistes et de ses infrastructures médicales. Avec des traitements FIV affichant des chances de succès plus importantes (proche de 70%) et des prix 40 à 60% moins cher qu’en Europe, l’intérêt est évident. En y ajoutant tous les atouts d’une destination touristique majeure – puisqu’un traitement prend au minimum deux semaines - Istanbul et la Turquie s’imposent alors comme un choix idéal. Restera plus qu’à trouver le prénom, inch’allah...
Quels sont les différents types de PMA ?
La FIV (fécondation in vitro) est la réponse médicale la plus répandue pour traiter la plupart des problèmes d’infertilité. Femmes de plus de 40 ans, ayant leurs trompes de Fallope endommagées ou bloquées, ovaires fonctionnels réduits, polypes utérins, fibromes utérins, insuffisance ou faiblesse des spermatozoïdes, les solutions sont multiples pour une fécondation assistée. La FIV désigne généralement l’opération consistant à recréer, en laboratoire, les différentes étapes de la fécondation in vivo (ou naturelle), tout en maximisant les chances de succès : recueil de plusieurs ovocytes, sélection des spermatozoïdes et des embryons, suivie de leur combinaison en éprouvette, avant d’être transférés dans l’utérus de la mère, ou le cas échéant de la mère porteuse. Le tout, orchestré par une équipe médicale pluridisciplinaire, constituée de gynécologues, biologistes, psychologues, infirmiers…
Il existe cependant plusieurs types de procréation médicale assistée, adaptées selon les critères d’âge et le diagnostic d’infertilité des parents.


Quels sont les tests effectués avant une FIV ?
Pour identifier les causes de l’infertilité et ainsi mieux préparer la FIV et augmenter les chances de succès de procréation du bébé biologique, une série de tests sanguins sont réalisés sur les parents.
Test de réserve ovarienne
Un test sanguin hormonal permet d’évaluer le nombre d’ovules produits par les ovaires de la future mère. L'hormone AMH indique le nombre d’ovules présents, l’hormone FSH indique l’éventuelle carence de la réserve ovarienne, tandis que l’oestradiol, dérivé de l’oestrogène, joue un rôle majeur dans le développement de l’utérus, des seins et le bon déroulement de la grossesse. Son taux normal pendant l’ovulation est compris entre 0,35 et 2,20 nmol/l.
Test de perméabilité tubaire
Avec une échographie, on examine la perméabilité des trompes de Fallope, pour voir si elles fonctionneront normalement après l’introduction des ovocytes fécondés in-vitro.
Test de prolactine
Hormone majeure entrant dans la production du lait maternel, la prolactine peut, à un taux trop élevé, empêcher la conception du foetus. Et à un taux trop bas, elle peut bloquer la production du lait maternel, et donc troubler l’alimentation du nourrisson. En fonction des résultats, le médecin prescrira une médication et une diète alimentaire permettant d’afficher un taux normal de prolactine.
Test de progestérone
Hormone féminine joue un rôle majeur durant la grossesse, et pour préparer la cavité utérine à la nidification de l’embryon. Elle est produite dans la seconde moitié du cycle menstruel après l’ovulation, période pendant laquelle ses taux augmentent pendant quelques jours puis diminuent en l’absence de fécondation.
Test d’évaluation du sperme
Il permet de prédire la forme, la mobilité et la concentration des spermatozoïdes. En cas de stérilité du sperme, l’équipe médicale optera pour une FIV ICSI, pour accroître les chances de réussite de la FIV.
Tests de dépistage de maladies infectieuses
Pour éviter les risques de mal croissance et de complications intra-utérines, lors de la grossesse et de l’accouchement, un dépistage des maladies telles que le VIH, l’hépatite B, la varicelle, la rubéole et la chlamydia est réalisé.

Quelles sont les étapes d’une FIV ?
Etape 1 : Test de fertilité et diagnostic préimplantatoire
La première étape d’une FIV commence par un test sanguin, aidant à cerner les causes d’infertilité et à trouver les meilleurs traitements hormonaux pour y remédier, ainsi que la FIV la mieux adaptée au couple.
Etape 2 : Stimulation ovarienne
Pour aider les ovaires à produire suffisamment d’ovocytes matures au même moment (au lieu d’un seul ovocyte produit chaque mois), un traitement d’hyperstimulation ovarienne sera prescrit, en début de cycle menstruel. Celui-ci se poursuivra jusqu’à la date de ponction des ovocytes, avec l’administration de plusieurs types d’hormones. Ce traitement s’accompagnera souvent d’un régime alimentaire stimulant, et sera surveillé par prise de sang régulière, pour déterminer l’instant précis de maturation folliculaire induisant l’ovulation, ainsi que par échographie vaginale, pour relever la taille des follicules.
Etape 3 : Ponction des ovocytes
A la date optimale d’ovulation, celle-ci sera déclenchée par injection d’hormones (hCG ou GnRH), 36 heures avant le moment de la ponction ovocytaire. L’opération de prélèvement des ovocytes, d’une durée de 15mn environ, est réalisée par voie vaginale sous contrôle échographique : une sonde échographique, portant une aiguille de ponction, permet au gynécologue d’atteindre les follicules et le fluide folliculaire. Les fluides collectés sont confiés à un biologiste, qui y ponctionne les ovocytes puis les place dans l’incubateur.
Etape 4 : L’insémination
L’échantillon de sperme prélevé permet de choisir une suspension de spermatozoïdes mobiles, qui est mise en contact avec chaque ovocyte, le même jour que la ponction. Dans le cas d’une FIV par ICSI ou IMSI, c’est un spermatozoïde unique qui sera introduit dans l’ovocyte. L’ensemble est ensuite placé en incubateur, puis surveillé jusqu’à la création embryonnaire.
Etape 5 : Le transfert embryonnaire
Les embryons obtenus par la fécondation in-vitro au bout de 2 à 5 jours sont replacés après la ponction, selon la procédure la mieux adaptée à la mère. L’embryologiste transfère un nombre d’embryons limité (selon les lois en vigueur et le choix du couple), et si celui-ci le souhaite, les embryons surnuméraires seront mis en congélation ou en vitrification, et conservés dans l’azote liquide à -196°, en prévision d’un éventuel transfert ultérieur.
Etape 6 : La grossesse
Pendant les deux semaines suivantes, l’embryon va éclore et pénétrer la muqueuse utérine : c’est l’étape de l’implantation embryonnaire ou nidation. Une prise de sang est réalisée environ deux semaines après le transfert, pour déterminer le succès de la fécondation. Si la patiente est enceinte, le traitement prescrit sera poursuivi jusqu’à la 8e semaine de grossesse, et des examens sanguins et échographies seront régulièrement réalisées pour surveiller le développement du bébé. Prendre soin de soi, faire une activité physique régulière (yoga, piscine…), suivre un régime alimentaire sain (fruits frais, pas d’alcool, huile de poisson), bien s’hydrater et bien dormir sont parmi les clés d’une grossesse réussie.
Si la patiente n’est pas enceinte, ce qui arrive dans 30% à 40% des cas de FIV en Turquie, le traitement de supplémentation hormonale prescrit sera stoppé, le cycle menstruel reprendra normalement, et on procédera à une nouvelle implantation des embryons surnuméraires recueillis précédemment.

Quel est le taux de réussite d’une FIV en Turquie ?
En France, le taux de réussite moyen d’une FIV s’établit à 20,3% par tentative. Un chiffre proche de celui de Mère Nature, un couple de 25 ans faisant l’amour régulièrement ayant 25% de chance de concevoir un bébé à chaque cycle. En Turquie, le taux de succès pour une FIV varie entre 40 et 50% chez les jeunes couples, et entre 25 et 30% pour les couples de plus de 40 ans. Certaines cliniques affichent 71% de chances de succès pour les patientes de moins de 35 ans, 65% pour celles entre 35 et 40 ans, et 54% pour les 40-45 ans.
Ce qui classe les cliniques FIV turques parmi les plus performantes au monde.

Quels sont les facteurs qui influencent le taux de réussite d'une FIV ?
L’âge de la femme et les tentatives de FIV antécédentes sont les principaux facteurs pris en compte dans le taux de réussite. Une longue durée d’infertilité (plus de 5 ans), la baisse de la réserve ovarienne (AMH inférieure à 1) ont aussi une influence.
Quel est le prix d’une FIV en Turquie ?
Dans certains pays européens, la FIV peut être couverte par la Sécurité Sociale, selon certaines conditions. Mais avec un taux de succès plus bas et des temps d’attente pouvant atteindre plusieurs années, le choix est vite fait... Les prix indiqués dans le tableau ci-dessous impliquent l’utilisation d’ovocytes de la mère.

Qu’est-ce qui influence le prix d’une FIV ?
De nombreux éléments entrent en compte dans le calcul du prix d’une FIV : statuts de fertilité, tests en laboratoires (tests sanguins pour déterminer le nombre d’ovocytes, tests de sperme…), échographies, traitements hormonaux et/ou médicaments, ponction des ovules, préparation du sperme, incubation des embryons, transfert intra-utérin des embryons, anesthésies locales… Le coût d’une FIV dépend aussi du nombre de cycles nécessaires. Sans oublier les frais de voyage et de séjour dans le cas d’une FIV réalisée en Turquie.

FIV en Turquie : ce que dit la loi
Les lois bio-éthiques encadrant la FIV sont plus strictes qu’en France ou dans la plupart des pays européens.
Les couples doivent être mariés, et avoir été diagnostiqués infertiles.
Le don de sperme, d’ovocytes et d’embryons est interdit.
La GPA (gestation pour autrui), ou maternité de substitution - recourir à une mère porteuse - est interdite.
La FIV n’est pas accessible aux femmes seules ou aux couples lesbiennes
La loi ne précise pas de limite d’âge pour une FIV.
La FIV surnuméraire n’est pas autorisée. Ce qui limite les grossesses multiples. Quel que soit l’âge où le nombre de tentatives précédemment réalisées, 2 embryons par cycle au maximum sont autorisés.
La loi autorise le DPI (diagnostic génétique préimplantatoire) et le PGS (dépistage d’aneuploïdie), mais pas la sélection du sexe de l’embryon.

Un visa est-il nécessaire pour faire une FIV en Turquie ?
Pour réaliser une FIV en Turquie, les formalités douanières sont les mêmes que pour les visiteurs touristiques. Ainsi tous les citoyens de l’Espace Européen sont exemptés de visa pour une durée de 90 jours. Les citoyens canadiens et américains doivent obtenir un visa électronique de tourisme auprès des services consulaires turcs. Les citoyens marocains et tunisiens sont exemptés de visa. Les citoyens algériens ont besoin d’un visa. Pour les citoyens des autres pays, se renseigner auprès de leur consulat turc respectif.
Forfait FIV tout compris avec Body Expert
Nos tarifs sont inférieurs de 50% à ceux de la plupart des autres pays, avec les taux de satisfaction imbattables.
5180€
INCLUS DANS L'OFFRE :
👶🏻 Le Traitement FIV
💉 Tous les tests de laboratoire
💊 Médicaments, soins, conseil et suivi
🛌 Logement pour 18 nuits en chambre double (pour couple) en hôtel quatre étoiles avec petit-déjeuner
🚖 Tous les transferts
👩🏻🔧 L'assistance d'une interprète francophone
Body Expert sélectionne les meilleures cliniques de reproduction en Turquie
Body Expert sélectionne avec soin les meilleures cliniques de médecine de PMA en Turquie, situées à Istanbul. Ces cliniques de fertilité sont accréditées JCI (Joint Commission International) et certifiées ISO 9001. Elles sont toutes équipées de laboratoires utilisant les technologies les plus avancées dans le domaine, et leurs équipes médicales, diplômées des meilleures universités de médecine de Turquie et d’Europe, sont très expérimentées et considérées parmi les plus compétentes au monde.

Des traitements de haute qualité

Un gain de temps incomparable
Une économie d'argent garantie
Pourquoi
réaliser sa FIV par l’intermédiaire de l’agence Body Expert ?

Les meilleures cliniques
Sélection des meilleures cliniques FIV et praticiens à Istanbul en Turquie

Assistance dans votre langue
Organisation de votre voyage FIV, accueil et suivi de chaque étape dans votre langue

Contrôle et transparence
Contrôle et transparence sur les prix des soins et la provenance des matériaux

Suivi post traitement
De retour chez vous, pour votre sécurité et votre confort, nous assurons votre suivi post traitement